Du 10 au 24  août 2013 

PORTUGAL  DE  A  JUSQU'A  Z


Un clic:

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A . AMITIÉ

Pour sûr, nous aimons la moto : c’est notre passion et nous en connaissons un rayon (de trail !) sur tout ce qui roule sur 2 ou 3 roues. Pourtant, notreBernard Denis Gilles et Vronique 1 moteur, c’est quand même l’être humain, composé de chair, d’os et d’un cerveau. Alors, partager un voyage de 2 semaines avec 44 de ses semblables, c’est notre grand plaisir. Pourtant, ce n’est pas évident tous les jours. Chacun a son caractère et, au fil des jours, avec la fatigue et la chaleur, des tensions  peuvent survenir. Il faut ici féliciter les Participants (es) pour leur indulgence, leur gentillesse et leur convivialité. Au cours de ce long voyage, nous sommes bien conscients d’être en vacances, privilégiés de pouvoir accomplir ce beau périple. Chacun alors oublie ses soucis personnels et se branche en mode "bonne humeur". Le résultat, c’est un groupe homogène -  avec ses (fortes) personnalités -, qui roule dans le même sens : merci les Amis (es) !

B . BURGOS

BucaoCette ville du nord de l’Espagne possède un joyau inestimable que le visiteur devine de fort loin : il s’agit bien sûr de sa cathédrale. La visite guidée vaut réellement le coup. La taille immense et la beauté de ce monument ne laissent personne indifférent. Gégé est tellement enthousiaste qu’il effectuera 2 fois la visite ! Pourtant, c’est grâce à notre guide, homme jovial, cultivé et parfaitement bilingue, que nous en apprécions toutes les subtilités. Les anecdotes fusent et le professeur sait captiver son auditoire. Un bon pédagogue est avant tout un comédien. Notre homme nous apprend ainsi que l’expression "parler le Français comme une vache espagnole" viendrait de la déformation de "parler le Français comme un Basque espagnol " .

Les petites ruelles de la vieille ville ne sont pas à négliger et chacun apprécie de quitter le confort spartiate de nos selles de moto, pour flâner à pied autour de la Plaza Mayor.

C . CRISE

Si toute l’Europe est impactée par la crise économique, les deux pays que nous visitons sont encore plus concernés par ce Cathedrale de Burgosfléau. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : 26 % de chômage en Espagne et 18% au Portugal. Les zones industrielles semblent désertes, les rares autoroutes que nous empruntons sont vides de camions et dans les  grosses villes, les travaux sont à l’arrêt. Porto est tout particulièrement touchée : maisons aux vitres brisées, échafaudages anciens oubliés, peintures défraîchies… La misère s’installe dans bon nombre de quartiers. Les changements négatifs sont évidents depuis notre dernière visite, qui date de 8 ans.

Cyniquement, cette situation abominable pour l’autochtone a du bon pour le touriste ! Les prix sont bas : le café vaut 60 centimes et la bière guère plus d’un Euro. On peut déjeuner dans un restaurant pour moins d’une dizaine d’Euros. La vie est moins chère (pour le visiteur !) qu’en Pologne où nous étions l’été dernier.

D . DOURO

Col de lAubisqueCe fut une des épines dorsales de notre voyage et un ravissement perpétuel. Longer les fleuves à moto provoque toujours de grands bonheurs. De Porto à Valladolid, nous ne quitterons guère ses rivages. C’est là que la moto prend tout son sens. Les virages s’enchaînent harmonieusement. Chacun, à son rythme, peut même se prendre pour un bon pilote ! (un bon pilote est aussi un pilote qui reste sur ses roues ! ) Les paysages viticoles ravissent les plus blasés. Les villes et villages offrent des pauses bienvenues où il fait bon siroter une mousse ou chercher une glace, qu’il est hélas rare de trouver, au grand regret de notre Mamie Chantal ! Les berges sauvages ne permettent guère aux baigneurs de goûter à la fraîcheur de ses eaux.

Il fait chaud et c’est normal ! Gare aux incendies de forêts ! Nous traversons des kilomètres de terres brûlées : quelle désolation !

Ce qui est agréable en été, après la pesante chaleur de l’après-midi, c’est de savourer la douceur des soirées où il fait bon refaire le monde avec les compagnons du voyage.

E . ENTRAIDE

La belle petite Guzzi Breva de Sylvie décide de nous faire un caprice du côté de Mogadouro, au Portugal. Il fait une chaleur étouffante.Gilles et Marie-Helene

En plein milieu d’une zone de travaux, la Guzz joue les divas. Les ouvriers nous demandent gentiment d’évacuer les lieux. Nous, on veut bien  mais la Guzz, non ! Elle ne veut plus en jouer !

 Et que je te pousse, et que je te pousse ! Tout le monde surchauffe… sauf la Guzz, qui refroidit gentiment ! Après bien des efforts, la capricieuse est poussée hors de la zone de travaux. On s’organise : je reste avec Sylvie, tandis que les copains partent à la recherche d’aide. Alain déniche une dépanneuse. Serge et Bernadette nous ravitaillent en eau. Grâce à Jean-Marc et Claudie, Sylvie est dépannée la première. L’assistance s’occupe de la moto : ce n’était rien qu’une batterie au bout du rouleau ! Le lendemain, Sylvie et sa belle Breva reprendront leur place au milieu du groupe 3 : merci les Amis (es) !

F . FEMMES

Guy et DominiqueA vous, les femmes, deux mots : bravo et merci ! Non seulement les "deux Sylvie" pilotent comme des chefs, mais toutes les passagères assurent un maximum. Par cette chaleur étouffante, personne ne grogne. La moto n’est (plus) machiste et il faut bien l’avouer, nos dames nous donnent la leçon. Alors que nous, les mecs, suons et fatiguons, elles sont toujours fraîches et souriantes ! C’en est même parfois rageant ! Et que dire de Claudie, dans sa chaise roulante, qui plaisante et ne se plaint jamais !

G . GROUPES

Pour d’évidentes raisons de sécurité, nous évoluons en 3 groupes.

Le groupe 1 est mené de main de maître par Gilles et Véronique sur leur rutilante GS. Ici, on s’arsouille gentiment. Si la route est droite, personne ne bronche. Mais dès l’annonce des premiers virages, les sourires s’allongent et la cadence s’accélère. Attaque et mauvaise foi maximum ! "T’attaquais, toi " ? Penses-tu… Il faut dire que les pilotes du Groupe 1 sont des virtuoses, et qu’ils ne se mettent jamais en danger ; mais quand ça tourne : on ne rigole plus !Jean Marc et Claudie

Le groupe 2 est guidé de manière collégiale. Chaque jour, un équipage différent prend les reines. Ici, on prend le temps de humer les odeurs de sous-bois, même si on ne rechigne pas à une petite arsouille, à l’occasion.

Grâce aux GPS, les demi-tours deviennent rares, et c’est un jeu d’enfant que de trouver les Hôtels. Malgré tout, il n’est pas toujours évident de trouver la bonne route ; pourtant, personne ne râle, car demain ce sera peut-être à son tour de guider !

Quant au groupe 3, c’est le groupe des épicuriens ! Pas besoin de se presser, il suffit de partir à temps ! (Et si on est prêt avant, ce n’est pas plus mal, n’est-ce pas, Patrick ?) Ici, on prend son temps, et on assure ! Mais pourtant, il nous arrive bien souvent d’arriver les premiers à l’hébergement…comme dans la fable !

H . HÉBERGEMENTS

LeonQuel luxe ! Qu’il est loin le temps du camping ! De Dax à Pau, nous logeons dans des palaces. Personne ne s’en plaint. Chaque soir, nous attendons la surprise qui va nous émerveiller. La palme revient à l’Hôtel "Reserva del Saja" à Renedo de Cabuerniga, dans la vallée de la Saja, en Espagne : extérieurement comme intérieurement, cet hôtel est un bijou. Le moins bien se trouvera à Porto, où il pleut dans la salle de bain de Bernard et Carmen ! Certes, les repas du soir ne sont pas toujours à la hauteur de la qualité des chambres, mais ces hébergements luxueux permettent à tout un chacun de se reposer et de repartir en pleine forme le lendemain matin.

I . INTERPRÈTE

Pas évident de communiquer en Espagne ou au Portugal. Voilà pourquoi Carmen fut beaucoup sollicitée ! Parfaitement bilingue, la compagne de Bernard nous sauva la mise plus d’une fois !

Grâce à ses talents, nous avons réussi, par exemple, à louer un bus à bas prix pour nous rendre à Burgos depuis notre Hôtel, situé à 12 km de la ville. Et ce n’est qu’un exemple, car nous avons usé et même abusé des connaissances linguistiques de "notre" Espagnole bien aimée !

Au Portugal, il est plus aisé de se faire comprendre, pour la bonne raison que le Français y est couramment parlé. Nous avons ainsi croisé bon nombre de voitures immatriculées en France… dont les occupants revenaient en vacances au pays. À noter la gentillesse et la serviabilité des Espagnols et des Portugais rencontrés.

J . JEUNESSE

À regarder les cartes d’identité des Participants, on pourrait penser que la moyenne d’âge de notre fine équipe frise la soixantaine : n’en croyez rien ! Chezlibrairie de Porto VROAM, nous sommes tous et toutes de grands enfants ! Infatigables, toujours prêts pour une bonne rigolade, nos Amis (es) pourraient en remontrer à bien des "jeunes freluquets !" Ici, pas de "tamalous" et encore moins de "bobolas". Pas de doute : la moto, ça conserve !

K . KAWASAHONDAZUKIMAHABMGUZZI

Mais non, on n’est pas sectaire pour un rond ! Il n’empêche que chacun, lors des longues soirées d’été, défend avec ardeur les couleurs de sa marque de moto préférée. Deux camps s’affrontent : les Bavarois contre les Nippons ! Sur ce voyage, aucun représentant de la firme de sa Gracieuse Majesté ne vient Triompher et jouer les arbitres. Mais Sylvie et Philippe relèvent le défi avec leurs bellassimas Guzzi !

Résultats des courses : toutes les motos se valent, pour peu qu’elles nous mènent à bon (Saint-Jean-Pied-de…) Port !

 Il n’empêche qu’il faut admettre que les B.M. l’emportent, (à mon grand dam !) sur les Jap’s d’une courte roue,  par 12 à 11…

L . LEON

Nous avons alterné les villes et la campagne.  Entre les deux, nos cœurs balancent. D’entre toutes les villes que nous avons visitées, là aussi, il est difficile de choisir la plus agréable ou la plus belle. Celle-là, Leon, possède un nom marrant et un charme fou. Comme toujours, la cathédrale, (hélas, Marie-Helene Annick Marc et Carmenl’entrée est payante) regroupe autour de ses hautes flèches un réseau de vieilles rues où il fait bon flâner.  Comme dans bon nombre d’autres villes où nous passerons, les pèlerins se rendant à Saint-Jacques-de-Compostelle sont légions. À pied, ou même parfois à vélo, ces infatigables voyageurs seront nos compagnons de route tout au long de notre périple.

M . MONTAGNE

Depuis les Pyrénées jusqu’à l’océan Atlantique, nous avons atteint des sommets ! A peine sortis de Dax, nous "attaquons" le Col d’Osquich : le ton est donné : à nous les virages, les épingles, les montées, les descentes et les paysages grandioses. Le revêtement est "nickel", (encore meilleur en Espagne) et les yeux ne savent plus où donner. L’altitude dépasse rarement les 1200 m, mais cela suffit à notre bonheur. La végétation est encore bien présente et bien verte. Une mention spéciale aux Picos de Europa, une région que nous recommandons vivement aux Amis motards ou randonneurs. Enfin, pour mettre le bouquet final à ce feu d’artifice de grimpettes et de déclivités, la dernière étape du voyage nous voit franchir le Col d’Aubisque, qui culmine à 1709 m. Nous sommes au-dessus d’une mer de nuages, en plein soleil : hélas, il va falloir redescendre sur le plancher des vaches…

N . NUAGES

Pratiquement aucun nuage tout au long du voyage, au sens propre comme au sens figuré ! Tout le monde connaît l’importance de la météo pour la pratique de la moto. Alors, 15 jours sans pluie, ou presque, cela relève de l’exploit. Bien sûr, les fortesPont Eiffel de Porto chaleurs attendues (et arrivées !) fatiguent les organismes. Mais, naviguer chaque jour sous un ciel d’un bleu resplendissant n’est pas désagréable. Et puis, cela permet d’emmagasiner de l’énergie pour les longs jours d’hiver, qui ne vont pas tarder à débouler, avec leur cortège de grisaille, brouillard et autre froidure…

O . OCÉAN

C’est un peu après Pontevedra que nous avons aperçu l’Océan Atlantique. Pour nous rendre à Porto, nous longeons la Côte, espagnole d’abord, puis portugaise. Pour celles et ceux qui envisageraient de piquer une tête dans l’eau, c’est raté ! Ici, c’est l’Atlantique, pas la Méditerranée : chaud dehors, mais froid dedans !

Nous sommes le 15 août, grande fête espagnole et nous béquillons nos belles (à 2 roues !) sur la jetée d’un petit port nommé A Guarda. Il est midi. La vie est belle. Nous sommes attablés autour de quelques tapas dans un petit restaurant bondé de convives. Soudain, c’est la fête ! Quelques musiciens - une Pena - entament une série de chants traditionnels. Le patron du resto sort pour prêter sa voix, des feuilles sont distribuées aux passants qui n’hésitent pas à donner de la voix ; le chœur s’agrandit, des instruments improbables (fourchettes, coquilles Saint-Jacques, spatules !) viennent en renfort du tambour, des 2 cornemuses et de la flûte ! Le résultat est entraînant, surprenant, joyeux, populaire et festif !

P . PNEUS

"Qui pneu le plus, pneu le moins" ! C’est bien connu ! Passe encore pour Bernard et sa 1200 RT, dont le pneu arrière n’arrive pas à digérer une goupille de 5 cm malencontreusement ramassée sur la route ! Un changement de gomme du côté de Logrono résoudra facilement le problème. Pour Manu et Virginie, les 2 chaussettes de la Gold montrent des signes évidents de fatigue : il en faudrait bien plus pour inquiéter nos Champenois, qui remonteront sur des œufs, mais sans Rianosoucis. Pour l’autre Bernard, (il y en avait 3 sur le voyage !) ce n’est pas la même chanson ! Le gommard avant du gros custom Kawa est usé jusqu’à la corde. Son concessionnaire lui avait assuré, avant de partir, qu’il tiendrait 5000 km sans problèmes : ce n’est pas du tout le cas… Sa chère Carmen n’est pas rassurée. Ils tentent vainement de dégoter un pneu neuf, en Navarre… et en France et décident d’abréger leur séjour et de remonter au plus vite en Seine-et-Marne. C’était peut-être plus sage. Retour prudent et sans embûche pour eux également.

Q . QUESTION

(petite) question, sans réponse, pourquoi n'avons nous pas rencontré davantage de motards (es), sur ces routes paradisiaques? Amis voyageurs, à la recherche d'une destination pour vos prochaines vacances, nous ne saurions trop vous recommander les Picos de Europa et la vallée du Douro.

 

R . RESTAURANT

Maintenant, nous en avons la preuve : VROAM s’embourgeoise ! Rares sont désormais les adeptes du pique-nique au bord de l’eau, du saucisson et du paquet de chips ! Gilles et Marie-Hélène, Jean-Claude et Lili forment l’heureuse exception ! Pour nous autres, ce fut plutôt brasseries et (petits) restaurants… À notre décharge, les tapas, petites salades, paëllas et autres brandades ne coûtent pas ici une fortune. Il n’empêche…

S . SANTÉ

Il faut une bonne santé pour effectuer quelques 5000 km en 15 jours. Certes, les hôtels luxueux nous permettent de récupérer des efforts fournis. Mais, les journées se suivent et se ressemblent et, chaque matin, il faut se remettre en selle ! Les VROAMEURS sont solides, et tout le monde suit le programme prévu  sans sourciller ! Et encore, que dire de Claudie, dans son fauteuil roulant : quelle leçon tu nous donnes !

T . TRAIL

Pas de doute, un (gros) trail, c’est la moto idéale pour voyager à deux, à bon rythme. Ce ne sont pas Gilles et Guy qui diront le contraire : leur 1200 GS font des merveilles. Les deux compères et leur passagère s’offrent même une petite incursion sur les chemins caillouteux du désert des Bardenas Real. Sur le goudron, Gérard et sa TDM suivent également le train des B.M., en toute décontraction. Les autres motos du groupe 1 en font tout autant, leur pilote criant même haut et fort "qu’ils se traînent" ! En toute objectivité, la GS est un sacré "outil" : efficacité, confort et une polyvalence hors du commun.  Les Gold Wing ne sont pas mal non plus, étonnamment maniables au vu de leur embonpoint, et l’Ami Manu n’est pas le dernier à taquiner les B.M. ! La VFR de Marc et Annick et la Norge de Philippe ne sont pas de mauvaises bêtes non plus, mais les GS impressionnent…

U . US  ET  COUTUMES

En Espagne, ainsi qu’au Portugal dans une moindre mesure, le rythme de vie ne ressemble nullement au nôtre : c’est aussi pour cela que l’on aime franchir nos frontières, pas seulement pour aller voir si l’herbe est plus verte que dans notre pré, mais pour comparer les différents modes de vie.Saint-Jacques de Compostelle

D’abord, les horaires des repas sont décalés de 2 ou 3 heures, par rapport à chez nous. Bien sûr, les hôteliers s’adaptent aux touristes. Il n’empêche qu’il est bizarre de voir le centre d’une grosse ville comme Pampelune pratiquement déserte un dimanche après-midi ! Par contre, dès que le soleil se couche, tout le monde se retrouve  autour des terrasses.

Le 15 août est un jour férié particulièrement festif. La veille, nous avons la chance de loger au centre-ville de Pontevedra et l’effervescence y est à son comble ; il est près de minuit et les rues grouillent de monde : on mange, on chante, on assiste aux spectacles celtiques, à la fête foraine…

V . VINS

En fins gastronomes, nous aimons goûter les spécialités locales. En Espagne, nous ne sommes pas enthousiasmés par le vin rouge qui accompagne les tapas, la tortilla ou la paëlla. Par contre, dès notre arrivée au Portugal, nous apprécions le Vihno Verde, un petit blanc sec, (le rouge est moins bon) qui accompagne avec bonheur la brandade ou les sardines grillées ! Nos vignerons, Philippe, Marc et Manu, apprécient. (les autres aussi !)

 Quant au Porto, la visite guidée de la maison Ferreira nous permet de distinguer le Tawny, le Ruby, le Vintage… La dégustation nous permet de vérifier de visu qu’un verre de Porto… c’est rudement bon !

Enfin, terminant notre voyage à Pau, il eut été incongru de ne pas faire honneur au Jurançon, qui mérite également toute sa place au moment de l’apéritif.

 W  WAOUH !

Quel beau voyage nous avons fait ! Nous avons bien conscience de la chance que nous avons de pouvoir effectuer chaque année depuis 20 ans, de tels périples  à travers l’Europe, et même parfois un peu plus loin (2 fois le Maroc). Un seul regret : que ces deux semaines soient passées si vite ! Partager les bons et les (rares) mauvais moments, en si charmante compagnie, rajoute encore du plaisir au plaisir.

X .  FACTOR

Les VROAMEURS (SES) ont un incroyable talent ! Ils savent et peuvent tout faire. Nous avons apprécié chacune et chacun d’entre vous, les fidèles de la première heure, tout autant que Bernard et Sylvie que nous n’avions jamais vus. Nous étions si bien ensemble que nous avons pris le temps pour rentrer à la maison. Jean-Claude et Liliane nous ont gentiment proposé de faire étape  chez eux, près de Cognac. Grâce à leur accueil chaleureux, nous avons prolongé les vacances !

Y . YAPUKAREMETREÇA

Eh bien voilà, nous voilà parvenus au terme de cette bonne petite aventure. Et maintenant, que fait-on ? On prépare le "grand" voyage de l’été prochain, bien sûr ! Quelque chose me dit que l’on devrait retourner dans les cols ! Nous allons changer de massif, puisque c’est autour des Alpes que ce déroulera le VROAM Tour 2014. Allemagne, Autriche, Italie, Suisse, France : préparez les appareils photos !

Z . ZYGOMATIQUES

Zim Boum Tra la la la : le rideau est tombé sur ce grand millésime. Alors qu’un doux Zéphyr souffle sur nos verres de Jurançon, il est temps de tourner la page et de faire le zoom sur ce beau voyage. Si comme l’affirmait ce bon François Rabelais "rire est le propre de l’Homme", il ne reste que zéro doute sur notre condition humaine. Nous nous sommes payés des zestes de bonne humeur et des tranches de franche rigolade. Après quelques zigzags, il est temps de remonter vers la zénitude de nos logis : ainsi parlait Zarathoustra lorsqu’il était au zénith de sa gloire !

À bientôt pour de nouvelles zaventures !                                           Lire aussi:Le Portugal

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